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Les 5 grands fondements d’une vie équilibrée

📩 Trouver un équilibre de vie peut relever du défi mais n’est pas impossible.

👉 Trouver du sens à sa vie, être en accord avec ses valeurs, jouir d’une pensée claire, s’ancrer dans le moment présent sans se soucier du futur…
👉 Avoir une vie dite «équilibrée» s’apparente dans une certaine mesure à la quête d’un Graal.
👉 S’il «ne fait aucun doute qu’un objectif aussi recherché ne peut être atteint rapidement ou avec peu d’effort», tout le monde peut y parvenir,

🚀 une vie équilibrée est «un ensemble interconnecté de cinq types d’équilibre différents». Précisions.

«La santé»
➡️ La santé physique et mentale est le point de départ «de la création d’équilibres de toutes sortes». Pour choyer la première être physiquement actif en pratiquant les activités qui nous plaisent, de «manger suffisamment et de dormir assez». Être en bonne santé mentale signifie être exempt de maladie mentale, de se sentir bien avec soi-même, de ressentir des émotions majoritairement positives et enfin de trouver du sens à sa vie.

«L’équilibre en soi»
➡️ Evoquons la notion d’équilibre en soi. Pour illustrer ce concept abstrait, prenons l’image d’un gâteau composé de plusieurs parts concernant chacune des sphères distinctes de notre vie (la carrière, les relations aux autres, les passions…). Ensemble, elles forment ce que l’on appelle l’identité personnelle. Pour mener une vie équilibrée, il est nécessaire qu’aucune de ces parts ne prenne plus de place qu’une autre et ce, de façon démesurée. La raison est simple : notre équilibre risque de s’effondrer si cette seule sphère de notre vie est impactée par tout événement négatif. Prenons l’exemple d’un licenciement : si notre vie est régie par ce domaine, nous perdrons pied. «Vous vous retrouvez avec la question : «qui suis-je ?» Cette absence constitue à elle seule une grave source de déséquilibre».

«L’équilibre dans la vie quotidienne»
➡️ Notre quotidien est bercé par deux types d’activités : celles que l’on doit faire et celles que l’on veut faire. «Une triste réalité de la vie est que, comme Maslow l’a si éloquemment dit, nous devons satisfaire nos besoins avant de pouvoir satisfaire nos désirs». En pratique ? Notre énergie et notre temps sont donc en priorité consacrés à ce que l’on doit faire, quitte à devoir oublier ou délaisser nos désirs. Or, nos passions, qu’elles soient d’ordres physiques, intellectuelles, artistiques, ou spirituelles, «sont notre carburant». Pour parvenir à trouver un certain équilibre. Essayer de donner la priorité à ces activités « sources de sens, d’épanouissement et de joie».

«L’équilibre relationnel»
➡️ «En tant que créatures sociales, notre capacité à maintenir l’équilibre dans nos vies signifie (également) maintenir l’équilibre dans nos relations». Cette stabilité relationnelle dépend «de la personnalité de chaque personne, de ses besoins, de ses expériences et de ses objectifs». Il n’y a pas de normes, certains sont épanouis lorsqu’ils sont intégrés dans un «petit groupe de personne» et d’autres ont besoin d’un «grand réseau social». Pour aboutir à une relation équilibrée, «chaque membre d’une relation doit sentir que ses besoins sont satisfaits tout en donnant suffisamment pour répondre aux besoins de l’autre personne».

«L’équilibre dans le déséquilibre»
➡️ Ceci étant dit, inutile de chercher l’équilibre parfait à tout prix. «Il peut être utile de se consacrer de manière disproportionnée à une seule activité, en particulier si cet engagement est motivé par la passion ou à un objectif». Attention néanmoins puisqu’un «dévouement aussi intense» peut conduire à la fatigue et à l’épuisement professionnel. L’objectif est donc de «trouver un équilibre dans le déséquilibre». En d’autres termes ?S’adonner de manière brève à des activités qui nous plaisent, pour se créer des «répits passagers», qui apportent un soupçon d’équilibre.

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Perfectionniste, Croire en ses ressentis ET son intuition ❤ 🙏

📩 Croire en ses ressentis est un sujet fascinant ❗
👉 L’intuition, cette force irrépressible qui nous pousse à agir sans recourir au raisonnement, est souvent associée à nos ressentis profonds.

📩 L’intuition et la connaissance immédiate.
👉 Selon le Petit Robert, l’intuition est une forme de connaissance immédiate qui ne dépend pas du raisonnement. Elle semble faire appel à des processus différents de l’intelligence rationnelle. Des neurologues ont même découvert que notre système nerveux peut anticiper certaines situations, comme si notre esprit pouvait “sentir” à l’avance ce qui est bon ou mauvais 😍 C’est cool ❗

📩 La confiance en soi et les ressentis.
👉 Croire en ses ressentis n’est pas une question d’orgueil, mais de dignité personnelle. C’est cet amarrage psychologique qui nous permet d’avoir confiance en nos décisions. Apprendre à écouter nos ressentis peut renforcer notre confiance en nous-même 😍

📩 L’importance d’écouter ses ressentis.
👉 Nos ressentis sont des messages envoyés par notre subconscient. Ils nous guident vers certaines actions ou nous mettent en garde contre d’autres. Comprendre ces ressentis peut être utile à bien des égards.
TOUJOURS AVEC BIENVEILLANCE ENVERS VOUS 😊

📩 En somme, croire en ses ressentis et écouter son intuition peut nous conduire vers des choix inattendus et parfois magiques, qui peuvent bouleverser notre quotidien 😍❤

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5 méthodes pour lutter contre les pensées intrusives

⭐ Parfois malgré nous, notre cerveau génère des pensées qui peuvent être particulièrement désagréables. Il existe des astuces pour lutter contre ces pensées non désirées.

➡️ Vous est-il déjà arrivé, lors d’un moment de tristesse, de stress ou, à l’inverse, de joie, de voir se cristalliser dans votre tête toutes vos pires angoisses ?
➡️ Nous avons tous déjà eu des pensées non voulues qui traversent notre esprit. Mais certaines d’entre elles sont plus difficiles à mettre de côté et peuvent revenir régulièrement.

💡 Ces pensées dites « intrusives », bien qu’elles semblent avoir peu d’impact réel, peuvent générer davantage de stress, une forme de culpabilité et, à terme, perturber le quotidien. Il est donc impératif de réussir à les repérer pour mieux les gérer.

💡 Qu’est-ce qu’une pensée intrusive et d’où vient-elle ?
« Les pensées intrusives sont des pensées spontanées et non désirées que nous avons et qui sont généralement désagréables d’une manière ou d’une autre, . Il peut s’agir de souvenirs, d’images, de pensées sur l’avenir, voire d’une urgence, et elles entraînent généralement une détresse émotionnelle, au moins brève, parce qu’elles peuvent être distrayantes ou perturbantes. » Ces pensées peuvent apparaître et disparaître assez rapidement, mais également perdurer dans le temps, au fil des heures voire des jours.

🚀 Les techniques pour éviter les pensées intrusives

📌 Ne pas les combattre.
L’objectif sera à terme de considérer ces pensées comme neutres et non plus comme des menaces.
📌 Pratiquer la pleine conscience : « Recentrez-vous et rappelez-vous de ce qui est réel et accessible ».
En vous concentrant sur votre respiration, votre corps et votre environnement, vous vous reconnecterez au présent et parviendrez à vous détacher de vos pensées au profit de ce qui est bien concret.
📌 La visualisation : pour donner à ces pensées intrusives le rôle qui leur revient, à savoir des pensées et non des scénarios réalistes, visualisez votre esprit comme un ciel dans lequel passent des nuages qui représentent vos pensées.
Certains sont blancs, d’autres noirs et chargés de négativité, mais tous finiront par passer.
📌 Externaliser les pensées : tenir un journal ou une note dans son téléphone permet de mettre de la distance entre soi et ses pensées.
📌 Recentrer l’attention : concentrez-vous sur une tâche plaisante, telle qu’un loisir, plutôt que de vous enfermer psychologiquement dans un cycle de pensées angoissantes.

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Perfectionnisme & charge mentale

⭐ L’importance de se féliciter des tâches accomplies, surtout quand elles sont invisibles ou ingrates, comme débarrasser le lave-vaisselle ou prendre RDV chez l’ophtalmologiste.

📌 Il est important de « marquer le coup » de la réalisation de ces gestes, qu’ils soient significatifs mais aussi plus petits. Nous pouvons éprouver pleinement la satisfaction et la gratitude d’avoir réalisé une quantité de choses en une journée ou une semaine.

➡️ Cette idée s’adresse principalement aux personnes qui ont un niveau d’exigence interne élevé, susceptible de les faire basculer dans une charge mentale à risque.

🎯 Je suggère deux étapes pour assouplir le perfectionnisme qui alourdit la charge mentale.

1️⃣.Se montrer réaliste sur la masse des tâches assumées en une journée

🚀 Les personnes perfectionnistes ont du mal à admettre qu’elles ont fait beaucoup (car elles estiment ne jamais en faire assez et, pire, jamais assez bien). Prendre conscience de toutes les tâches réalisées en une journée (ou une semaine) permet de recadrer les pensées et ouvre la possibilité de se déclarer satisfait de l’ampleur de ce qui a été accompli.

A cet effet, il est possible de noter dans un cahier l’aboutissement d’une tâche qui a demandé un investissement particulier. La prise de conscience écrite est un premier pas vers une appréciation plus réaliste de la réalité. A la suite de cela, il peut être utile de s’offrir une gratification, comme un petit compliment qui peut tout simplement prendre la forme de : « J’ai atteint l’objectif que je m’étais fixé dans les temps. »

2️⃣.Accepter pleinement les signes de reconnaissances exprimés par les autres

🚀 Les personnes perfectionnistes peuvent avoir du mal à accepter des messages positifs exprimés par les autres. Elles vont répondre « C’est normal » ou bien « Toutes les mères le font, je n’ai aucun mérite » ou encore « J’aurais pu le faire plus vite. » Accepter les compliments et encouragements, c’est plutôt répondre : « Oui, c’est vrai, c’était beaucoup de travail et le résultat fait plaisir. Je suis contente de moi. »

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Être perfectionniste nuit-il au bonheur ? La réponse surprenante de la science

⭐ UNE RECHERCHE ÉCLAIRE SOUS UN JOUR NOUVEAU LES FACTEURS DE BIEN-ÊTRE DES 18-35 ANS

📌 Une étude récente menée auprès de 259 jeunes adultes s’est penchée sur les liens entre intelligence émotionnelle, perfectionnisme et bonheur.
Ses résultats apportent un éclairage inédit sur les déterminants du bien-être de cette tranche d’âge.

➡️ L’intelligence émotionnelle, c’est-à-dire la capacité à identifier, comprendre et réguler ses émotions et celles des autres, ressort comme un facteur clé. Les jeunes présentant un haut niveau d’intelligence émotionnelle ont reporté des niveaux de bonheur et de satisfaction significativement plus élevés.

⭐ LE PERFECTIONNISME, UN FREIN ÉTONNANT AU BIEN-ÊTRE
📌 Mais la découverte la plus surprenante concerne le perfectionnisme. Contrairement aux idées reçues, viser constamment la perfection serait néfaste pour le moral des jeunes adultes, même lorsqu’il s’agit d’une forme de perfectionnisme « positif » ou adaptatif.

➡️ En analysant l’effet médiateur du perfectionnisme, les chercheurs ont montré qu’un haut niveau d’intelligence émotionnelle diminuait certes les tendances perfectionnistes inadaptées, mais que celles-ci avaient tout de même un impact résiduel négatif sur le bonheur.

⭐ MISER SUR L’INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE PLUTÔT QUE LA PERFECTION
➡️ Cette étude novatrice suggère donc que pour favoriser le bien-être des jeunes adultes, il faudrait davantage miser sur le développement de leur intelligence émotionnelle plutôt que d’encourager la quête de perfection, même avec de bonnes intentions.

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Et si le perfectionnisme était un vilain défaut ? Ses incidences sur la santé mentale

Être perfectionniste n’est pas toujours une qualité.
➡️ Certaines personnes cherchent constamment l’excellence, sans jamais avoir le sentiment d’être à la hauteur.
➡️ Un perfectionnisme négatif et toxique qui a des incidences réelles sur la santé mentale.

📌 Dans sa forme pathologique et négative, « le perfectionnisme peut conduire à une quête compulsive et ininterrompue de buts irréalistes, altérant productivité, estime de soi, relations sociales et menant à l’insatisfaction permanente et souvent au burn-out »

Ca vous parle ?
Une insatisfaction chronique !!!

🎯 La tendance excessive à rechercher la perfection pourrait prédisposer au burn-out.
« L’une des plus fortes conséquences du perfectionnisme est l’insatisfaction chronique ».
Les perfectionnistes se fixent « des attentes et des objectifs inappropriés et non tangibles » et font face à une insatisfaction constante, peu importe le résultat.

➡️ Cette recherche perpétuelle du mieux est évidemment porteuse d’une pression éreintante. Une injonction à l’excellence qui fait naître des malaises allant du syndrome de l’imposteur à l’épuisement psychologique généralisé.
➡️ « Les individus perfectionnistes sont également sujets au burn-out tant ils fixent des normes irréalistes et inflexibles à leur propre performance, rendant impossible pour eux-mêmes le fait d’être à la hauteur.
➡️ Le degré d’exigence est tel qu’un grand nombre de difficultés sur le plan psychologique, interpersonnel et sur le plan de la réussite scolaire ou professionnelle surviennent.
➡️ Le perfectionnisme est en effet « une source de stress et de pression face à laquelle la personne va développer des mécanismes d’adaptation inappropriés ».
Des comportements d’évitement ou de procrastination sont ainsi possibles. « Par crainte de ne pas être à la hauteur de l’enjeu, certains en viennent à considérer qu’il vaut mieux ne pas faire une tâche plutôt que de ne pas la réaliser parfaitement ».

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Perfectionnisme : L’auto-critique et les doutes permanents

➡️ Puisque rien n’est jamais au niveau, le perfectionniste est un éternel insatisfait. Il a tendance à être incapable de se réjouir d’une victoire, car tout aurait toujours pu être mieux. « Je pourrais passer des heures à améliorer un e-mail, un support ou une présentation. Changer une virgule, une formulation, vérifier que tout est bien aligné. Aujourd’hui, je prends sur moi. Je m’impose des deadlines et j’envoie en l’état. Le pire, c’est que les gens sont souvent satisfaits du résultat ».
➡️ Il est toujours difficile pour le perfectionniste de prendre le recul nécessaire pour juger de son travail. Alors comme moi, il faut apprendre à passer à autre chose et faire confiance à ses collègues quand ils affirment que le résultat est suffisant.

😁 C’est donc un trait de caractère épuisant, dont les perfectionnistes sont les premières victimes, mais qui peut également (et heureusement) se transformer en opportunité. Car les perfectionnistes poussent aussi leur entourage à s’améliorer, à donner le meilleur d’eux-mêmes, à progresser

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Des normes démesurées de performance

« Le perfectionniste méprise le temps et méprise la peine, tant que le résultat est là.

➡️ Le perfectionniste se fixe des règles et les applique. Et il en attend autant des autres. Par conséquent, ses objectifs sont rarement atteints, parce que trop ambitieux.

⭐ La difficulté à lâcher prise
Le perfectionniste a du mal à déléguer ou à se contenter d’un résultat médiocre.

📌 Pour éviter le burn-out et apprendre à lâcher prise, l’une des clés est de se focaliser sur les priorités de l’interlocuteur final, et pas les siennes :
🎯 Se fixer des points d’attention limités aide le perfectionniste à calmer sa recherche permanente de perfection.

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Procrastination

Nous sommes tous confrontés à la procrastination à un moment donné.
Moi le premier 👇😁 …

Mais comment la reconnaître ?

1️⃣ Le report constant des tâches importantes
2️⃣ La préférence pour des tâches secondaires et moins importantes
3️⃣ La difficulté à démarrer une tâche
4️⃣ La justification des retards par des excuses
5️⃣ La tendance à attendre la dernière minute pour agir
6️⃣ Le sentiment de culpabilité ou de frustration après avoir procrastiné

Reconnaître ces signes est la première étape pour surmonter la procrastination et devenir plus productif.

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Perfectionnisme : viser toujours plus haut… mais à quel prix ?

⭐ Les perfectionnistes et leurs petites névroses
Le perfectionnisme au travail a des avantages bien connus : persévérance, résilience, souci du détail. Mais il provoque aussi quelques difficultés, pour le perfectionniste lui-même et pour ses collègues.
➡️ La procrastination
Produire un travail parfait implique des conditions pour l’exécuter qui doivent être… parfaites.
Le risque ? Attendre que ces conditions soient réunies pour s’y mettre.
📌 Certains perfectionnistes sont ainsi de grands procrastinateurs, incapables de se lancer tant ils ont peur de ne pas produire un résultat à la hauteur.
📌 « Plus jeune, je pouvais passer des heures à réorganiser mon bureau ou choisir la couleur de mes stabilos avant de commencer un devoir maison difficile.
📌J’ai toujours des restes de ce comportement aujourd’hui. Mon cerveau peut être très créatif quand il s’agit de trouver des petits détails à régler avant de me lancer !.
🌟 Une solution ? Travailler en duo avec un “fonceur” qui donnera l’entrain nécessaire au lancement d’un projet, puis profiter du bon pendant de son perfectionnisme pour l’améliorer par la suite.

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